Les débuts exacts des échecs sont encore vagues, bien que d’autres pensent que le jeu était basé sur le Chaturanga indien, qui signifie essentiellement « quatre » et aussi « bras ». L’ancien jeu « d’échecs » utilisait des pièces qui ressemblent un peu aux échecs modernes, ainsi que des mouvements. Cependant, les règles de ce jeu n’ont pas encore été clarifiées.
Dans chaque jeu vidéo, il y a des règles et les échecs ne sont pas une exception. En fait, il existe de nombreuses politiques qui régissent le jeu vidéo compétitif et récréatif. Néanmoins, la question est de savoir d’où viennent ces règlements et comment ils ont été établis.
Les premières politiques d’échecs
Tout au long du 16ème siècle, les lignes directrices du jeu d’échecs contemporain se sont matérialisées en Italie. Depuis lors, les règles du jeu n’ont cessé de progresser. Des siècles plus tôt, avant l’apparition des règles modernes en Italie, les échecs se jouaient très lentement, certaines parties pouvant durer plusieurs jours. Il existe plusieurs autres variantes des politiques qui ont commencé à transformer la forme du jeu vidéo au cours des années 1300. L’ajustement le plus significatif, bien qu’initialement impopulaire, des directives était la capacité du pion à se déplacer de deux cases au cours de la première action au lieu d’une.
Après 1475, de nouveaux ajustements ont été apportés aux règles, ce qui a permis de faire progresser le jeu vidéo. Par exemple, la reine a été introduite et est devenue une toute nouvelle pièce puissante. C’est ainsi que la reine a été introduite et qu’elle est devenue une nouvelle pièce puissante, ce qui a fini par donner plus de valeur à la petite méthode précédemment considérée comme la promotion des pions.
Dans le Chaturanga, l’éléphant de combat a également évolué pour devenir le fou, offrant ainsi plus de possibilités. Les modifications notables des politiques ont également donné lieu à l’apparition de figures « non guerrières ». Finalement, les échecs se sont déplacés plus en détail vers la cour et le foyer commun en raison du départ de l’importance militaire pure au jeu vidéo, qui était sensiblement commun en Inde et en Perse.
L’émergence de la politique moderne des échecs
Tout au long du Moyen Âge, un nouvel ensemble de règles pour le jeu vidéo a émergé. Dans le cadre de ce principe, la tour et le roi avaient tous deux l’avantage de roquer, ce qui est une variante de la marche, appelée roque. Puisque les pions avaient la possibilité de se déplacer de deux cases lors de l’action initiale, la règle de l’en passant était conséquente. Bien plus, les pions acquéraient la possibilité d’être promus à une ancienneté s’ils parvenaient à atteindre le 8e rang.
En dehors de ces règles, 3 autres normes ont été introduites, qui ont finalement évolué avec les années. Tout d’abord, il y avait la ligne directrice du statu quo qui a transformé de façon permanente le résultat des parties d’échecs vidéo un certain nombre de fois. Ensuite, la répétition en trois temps a également été ajoutée. Enfin, la ligne directrice des cinquante actions a également été ajoutée, dans laquelle un match nul peut être affirmé s’il n’y a pas eu d’activité évidente d’un pion ainsi que la capture d’un quelconque type d’élément au cours des cinquante dernières variétés de mouvements.
Depuis lors, les règles du jeu d’échecs ont été quelque peu modifiées jusqu’au début du 19ème siècle, au cours duquel le jeu a atteint son type actuel. De nos jours, les politiques fondamentales du jeu d’échecs sont largement approuvées par les organismes mondiaux et nationaux de réglementation du jeu d’échecs, comme l’USCF ou la Fédération américaine des échecs et la FIDE ou la Fédération mondiale des échecs.
Néanmoins, même si les règles du jeu d’échecs ont évolué, l’objectif standard du jeu vidéo reste le même – mettre en danger la pièce la plus avantageuse de l’adversaire, le roi, par un échec et mat.
Vous avez oublier le rôle des arabes dans le jeux d échec, chir mate, le roi est mort
La plupart de ces assertions sont fausses et l’évolution du jeu est très mal expliquée. Visiblement par un journaliste qui ne connait pas vraiment ce jeu ,! Problème de compétence et sans doute aussi de traduction.